Seriez-vous favorable à la mise en place de peines lourdes et conséquentes contre un élève ou un parent d’élève qui agresserait, insulterait ou menacerait un professeur ?
Le drame de Saint-Jean-de-Luz pose la question de la sécurité de nos enseignants. La création d'un statut similaire à celui des policiers pourrait permettre de punir sévèrement les personnes qui s'en prendraient à eux verbalement ou physiquement en leur qualité de professeur.
24 février 2023
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Réponses (54)
- Favorable mais à quoi cela pourrait servir ? A mon avis il ne s'agit plus de trouver des peines plus ou moins fortes en fonction de la personne (physique ou ce qu'elle représente) qui doit être débattu. Il faudrait surtout que la société retrouve une certaine volonté de vivre ensemble avec une base commune et des idéaux communs avec des projets communs. Dans la mesure où des mesures particulières sont instaurées pour une catégorie de personne, l'unité nationale n'existe plus. Je ne comprend même pas pourquoi il y a ce mouvement de refus de toute autorité (parentale, professorale, police, pompiers, ..... Il faut prendre le problème à la source : respect de l'autre et discussion avec l'autre et pas "contre" l'autre. Sinon on va ajouter et ajouter des mesures et des mesures en fonction de telle ou telle personnes, fonctions, ...... Au surplus, les peines aujourd'hui ne sont plus appliquées en entier !!!!!! du coup pourquoi les alourdir ?Répondre0L'école est sanctuaire autant que la chapelle. Victor Hugo.Répondre0La question est trop fermée. La peine est à apprécier au cas par cas.Répondre0Les parents sont là pour éduquer, les enseignants pour enseigner. Les uns comme les autres n'ont pas à confier l'éducation ou l'enseignement aux écrans. Éduquer aux écrans et non pas par les écrans. Oui, des peines conséquentes et appliquées, oui une amende aux parents.Répondre0Les parents doivent être punis lourdement ET systématiquement. Les enfants fauteurs de trouble doivent recevoir également une punition systématique.Répondre0Plus qu'une peine lourde, une peine immédiate, systématique et tou hant également les parents.Répondre0Bonjour, Je rejoins nombre de commentaires : appliquons déjà la loi existante !Répondre0Avant tout, le respect s'apprend avant de se faire respecter.Répondre0Quelle est la différence entre "France Souveraine" et "République Souveraine" ? Ne pourrait on pas fusionner les 2 mouvements ?Répondre0d'une manière générale a toutes les agressions envers personnes détenant l'autoritéRépondre0En même temps que des peines APPLIQUEES réellement, il faut revoir l'éducation en amont ( Parents et Ecole ) et redonner un sens et un avenir à nos enfants et à notre pays ainsi que revenir à plus de valeurs en commun pour la communauté...et donc encore une fois quitter l'Europe bruxelloise actuelle et ne plus rien laisser passer.Répondre0Sanctionner les parents d enfants recidivistes en otant les aides socialesRépondre0Et apprendre aux enfants le RESPECT envers celui ou celle qui va transmettre un savoir.Répondre0Les enseignants n'ont pas toujours le soutien de leur hiérarchie. Les agression d'élèves ou de leurs parents sont monnaie courante. Mais il me semble avant tout primordial de RESTAURER l'AUTORITE DE L'ETAT.Répondre1J'ai voté favorable à la question qui serait plutôt: "Seriez-vous favorable à la mise en place de l'application des peines, etc..." Merci Lucien d'avoir écrit de façon si détaillé l'arsenal en place et qui n'est guère connu des élèves et des enseignants. Retraitée de l’Éducation Nationale, je suis bien placée pour le savoir. La tâche est tellement énorme, le danger si palpable nous semble imprévisible. L'information me paraît être la première étape, réalisable sur le terrain. Chaque directeur d'établissement devrait très rapidement faire un rappel à la loi, en assemblée générale qui réunirait tous les élèves et tout le personnel. Ensuite, juste déjà appliquer, au sein de chaque structure éducative, la tolérance zéro pour chaque acte répréhensible avec sanctions adaptées. La plupart du temps, les problèmes sont réglés entre quatre murs pour protéger je ne sais quoi. Seuls le professeur principal de l'élève, l'enseignant concerné, éventuellement le Conseiller Principal d’Éducation (je parle d'un collège), a accès aux informations. Les autres ont vent de "quelque chose" en conseil de classe. Comment prévenir sans savoir.Répondre0Il serait préférable de rétablir l'autorité des enseignants, par des leçons de civisme et un comportement exemplaire de ceux qui diffusent le savoir. Ces situations étaient inenvisageables autrefois, car nous avions un profond respect pour nos Maîtres et nos ProfesseursRépondre0je suis parfaitement d'accord avec Lucien Sion c'est pourquoi je vote "très favorable!Répondre0Les lois existent mais ne sont guère appliquées, ici comme ailleurs. Pendant des années l'"Education" nationale a fermé les yeux et laissé faire:il ne fallait pas faire de vagues. "De quoi vous plaignez-vous, vous avez trois mois de vacances"...Combien de fois ai-je entendu cette phrase si j'évoquais les difficultés rencontrées dans les collèges dits "sensibles"! Eh bien voilà! On y est! Selon moi c'est lié à un problème plus général de laxisme, de culture de l'excuse et de perte des valeurs de notre société qui n'est pas près de se résoudre.Répondre1Connaissiez vous l'article 222-13 de la loi du 24 janvier 2022 avant de poser cette question ?Répondre0La peine doit être suffisante pour l'empêcher de recommencer et surtout de ne pas commencerRépondre0Le Code Pénal actuel suffit amplement. Il suffirait seulement que les juges appliquent ledit code et que les peines ne soient pas "adaptées" par le juge de l'application des peines en fonction (entre autres) des ... places disponibles en pénitentiaire.Répondre1Tout dépend des circonstances. il semble qu’il y a déjà des lois. Et les réactions à chaud ne sont pas forcément bonnesRépondre0il faut commencer par appliquer la lui actuelle ......Répondre0Cela me paraît une évidence de remettre le respect de l'autorité (mot bannit aujourd'hui) au coeur des établissements scolaires. Malheureusement, le malaise me semble bien plus profond, de nombreux élèves et leurs parents se comportent avant tout comme des "consommateurs", invoquent des "droits" en écartant l'idée même de "devoirs" envers une institution à laquelle ils accèdent gratuitement contrairement à de nombreux pays. J'ai connu un principal de collège qui n'hésitait pas à sortir de son établissement pour tirer les oreilles des perturbateurs et bagarreurs qui sévissaient aux alentours, aujourd'hui il ne le pourrait plus.Répondre0J'ai voté défavorable puisque ces textes existent déjà. La justice a tout ce qu’il faut pour réprimer la moindre incartade d’une personne contre un personnel enseignant. Il lui manque simplement la volonté et le sens de la responsabilité des magistrats pour appliquer les textes. Le dispositif pénal est identique à celui qui est sensé assurer la défense des policiers, mais il est tout aussi inappliqué. Ce qui a fait dire à un responsable syndical policier : l’ennemi de la sécurité, c’est la Justice ! Celle-ci dispose déjà : - de l’article 222-13 CP modifié par loi n°2022-52 du 24 janvier 2022 - art. 10 qui stipule que : « Les violences ayant entraîné une incapacité de travail inférieure ou égale à huit jours ou n'ayant entraîné aucune incapacité de travail sont punies de trois ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende lorsqu'elles sont commises : 4è bis - sur un enseignant ou tout membre des personnels travaillant dans les établissements d'enseignement scolaire ». - de l’article 433-5 du CP modifié par loi n°2021-1520 du 25 novembre 2021 - art. 55 qui stipule que : « Constituent un outrage puni de 7 500 euros d'amende les paroles, gestes ou menaces, les écrits ou images de toute nature non rendus publics ou l'envoi d'objets quelconques adressés à une personne chargée d'une mission de service public, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de sa mission, et de nature à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont elle est investie. Lorsqu'il est adressé à une personne chargée d'une mission de service public et que les faits ont été commis à l'intérieur d'un établissement scolaire ou éducatif, ou, à l'occasion des entrées ou sorties des élèves, aux abords d'un tel établissement, l'outrage est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende ». - de l’article 222-17 du CP modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 - art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002 qui stipule que : « La menace de commettre un crime ou un délit contre les personnes dont la tentative est punie de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende lorsqu'elle est, soit réitérée, soit matérialisée par un écrit, une image ou tout autre objet ». Il me semble que le projet de loi LOPMI présenté par M. DARMANIN prévoit de supprimer la réitération de la menace pour que celle-ci soit sanctionnée. En raison de l’inapplication de la loi par la Justice, le pôle Sécurité de France Souveraine fait des propositions simples d’application de peines planchers pour régler en quelques clics les problèmes de sécurité dans les établissements scolaires : - dès la première comparution, une peine d’amende plancher d’un minimum de la moitié du quantum de l’incrimination prévu quand le délit est commis contre un agent chargé d’une fonction d’autorité cité à l’art 222-13 du code pénal. Il en est ainsi notamment pour les délits d’outrage, menaces, rébellion, provocation à la rébellion, violences prévus aux art 433-5, 433, 433-6, 433-10, 222-13 et 222-11 du code pénal ; - à la 1ère récidive, une peine plancher d’emprisonnement de 3 mois ; - à chaque récidive, la peine d’emprisonnement double jusqu’au maximum de la peine prévue par le texte d’incrimination ; - La confiscation systématique des moyens qui ont permis la commission de l’infraction comme le téléphone si celui-ci a permis de véhiculer l’infraction. Nécessairement le juge garde toute liberté pour réprimer plus sévèrement en fonction de la gravité des faits ou de la personnalité de son auteur. Le Procureur de la République a l’obligation de poursuivre tous les délits constitués. Cependant, pour soulager le service des audiences tout en apportant une sanction rapide à tous les délits, le Procureur de la République peut proposer une amende délictuelle transactionnelle au mis en cause. Le montant de celle-ci est de 3 000 € lorsque la victime est un agent d’autorité cité à l’article 222-13 du code pénal. La confiscation des moyens et des bénéfices du délit accompagne l’amende transactionnelle. La transaction compte pour la récidive. Ces peines planchers, ainsi que l’amende transactionnelle forfaitaire s’appliquent aux mineurs délinquants, réduites de moitié, mais systématiquement accompagnées de mesures éducatives. S Sauf s’ils n’en ont pas la charge, les parents d’enfants mineurs sont pécuniairement responsables des amendes de ceux-ci. Le dispositif proposé permet, a minima, dès la clôture de la procédure de violence, menaces, outrage, d’appliquer, outre la confiscation éventuelle du téléphone, une amende de 3000€ dès les 48 heures après les faits. Ces 48 heures étant nécessairement passées dans les locaux de police dans le cadre de la garde-à-vue. L’amende est réduite de moitié pour les mineurs mais doublée d’un signalement au juge des mineurs pour application de mesures éducatives. L’amende appliquée à l’élève étant mise à la charge des parents garantit le paiement de celle-ci y compris sur une partie des allocations familiales. Enfin, le pôle Sécurité de France Souveraine propose une mesure plancher infra pénale pour responsabiliser les parents en équilibrant le couple allocations/éducation qui conditionnera, dès l’enfance, le versement des allocations au respect scolaire avec suspension de celles-ci dès la 3ème absence non justifiée ou incident disciplinaire dans le cadre scolaire.Répondre1L'école doit être un sanctuaire, et sans des principes simples de discipline et la distance nécessaire entre les élèves (et la famille des élèves, ainsi que les associations qui les représentent) avec le corps enseignant, on arrivera à rien.Répondre0La plus grande sévérité en cas d’agression de professeurs serait la moindre des choses mais c’est en amont qu’il faut agir et restaurer de toute urgence une autorité qui fait défaut désormais dans tous les domaines. Autant dire un chantier phénoménal !…Répondre0C'était une vraie question ? ;-)Répondre0Enrayer la loi de la jungle qui s'est installée dans la société dès les premiers pas en milieu scolaire. Contraindre les parents d'élèves à une réelle collaboration avec les enseignants sous peines de sanctions pénales et sociales.Répondre0Le tout répressif n'est jamais la solution. La première chose à faire est de réformer l'éducation nationale et sa structure. La structure doit être protectrice des enseignants et en même temps les obliger à ne pas faire d'idéologie. Une fois que ce sera fait, alors oui il faudra une échelle de sanctions. Mais il ne faut pas inverser le processus.Répondre0Il faut rétablir l'autorité et le respect , et cela commence avec l'éducation donnée par les parents , qui , malheureusement fait actuellement défaut dans beaucoup de foyers. Ensuite des sanctions sévères et surtout appliquées sont nécessaires maintenant que le laxisme a fait son oeuvre .Répondre0Être favorable à des peines plus lourdes est une chose, mais nous tomberons rapidement sur d'autres problèmes, comme celui du jugement et de l'application de ces peines. Plein de questions viennent se greffer autour de ce meurtre et ce ne sera pas uniquement un alourdissement des peines qui changera quoi que ce soit. Le tueur, qui en arrive à de tels actes, ne se soucis pas de la législation en place.Répondre0Il faut éjecter tous ces sauvages qui ne respectent pas nos lois. Mesures radicales contre ceux qui ne respectent pas la police, les enseignants, les uniformes ......STOP aux barbares protégés par macron le fossoyeur et son ministre de la "justice" le yéti !!!Répondre1Pourquoi toujours plus de lois, de justices d'exceptions...faisons respecter et appliquer les testes en place Une prise de conscience de l'institution (EN) est déjà un préalable, vis à vis de la violence faite aux professeurs mais aussi des comportements de certains enseignants.RépondreRéponses (1)0bêtise de Cambrai ?Sanctionner c'est marquer une limite et c'est très important. Cependant, cela ne résout pas le problème de fond. Un élève qui assassine son enseignante a des problèmes psychiatriques, il est probablement exposé depuis longtemps à un extrême niveau de violence qui banalise son geste, c'est donc toute une réflexion d'ensemble qu'il convient d'avoir. En 1er lieu, rendre accessible la prise en charge des traumas émotionnels gratuitement pour les jeunes grâce à des thérapies brèves comme l'EMDR... Et si l'Etat donnait l'exemple ? Crever les yeux et arracher les bras de jeunes qui demandent une société plus juste, c'est exemplaire ça ? Quand les gens demandent à travailler pour pouvoir nourrir leur famille et que Macron se dote de chars pour leur répondre, où est l'exemple, par quoi commencer ? Bref, le chantier est très vaste. Pensons également à la malbouffe, on sait depuis des lustres que le sucre impacte le comportement et rend agressif. On sait aussi que certains profs auraient bien besoin d'une thérapie et se comportent comme des tyrans parce que eux mêmes traumatisés, frustrés, à commencer par l'institution elle-même. Ce geste terrible nous invite à reposer les bases de nos sociétés...Répondre0Il faut aussi reprendre le respect de l enseignant des la primaire.Répondre0Le fait est qu'après 68, il était de bon ton que le maître ou la maîtresse d'école devienne un enseignant abordable par le tutoiement proposé aux élèves. Vous vous rappelez: il est interdit d'interdire. Dans l'école parfaite des bobos bien- pensants, l'élève devient un copain, voir un objet de désir, de défoulement ou de faire valoir pour les enseignants. Nous vivons dans un monde ou le respect dû à la fonction n'existe plus. Le respect se mérite par l'exemple. Se défausser sur la hiérarchie en geignant ne suffira pas. Les hussards noirs ont bien réussi à détruire les valeurs chrétiennes. Ils ont réussi à créer les usines à crétin dont nos politiques mondialistes ont besoin.Répondre0Jadis le manque de respect envers un enseignant se traduisait par des sanctions tant de l'établissement scolaire que des des parents de l'élève. Maintenant c'est tout l'inverse. La barre va être dure à redresser.Répondre1Respecter un enseignant c'est respecter la RépubliqueRépondre1Restaurer l autorité c est plus global et societal que le faire avec une simple doctrine pénale. La peine est une condition nécessaire mais non siffisanteRépondre0Tous les politiques n'ont de cesse de répéter que l'école est un sanctuaire... Et bien passez maintenant des mots à la réalité.Répondre1mais que fait-on des prof qui endoctrinent par le choix de textes à étudier ou le choix de conférenciers d'associaitons agréées (dans le sens que vous devinez)?RépondreRéponses (1)1C’est un autre sujet Eric, mais tout aussi important.Il faut redorer le blason de notre Ecole républicaine. Les gouvernements successifs depuis 1981 ont fait preuve de bien trop de laxisme et les lieux d'instruction sont devenus des lieux où la porte est ouverte à toutes les dérives. Il faut redonner aux enseignants leur légitimité d'antan, mais cela est-il encore possible ? Cela commence par un nouveau statut des professeurs et une nouvelle législation les concernant, laquelle permettra de mieux les protéger. Et puis revalorisons ce beau métier pour attirer les têtes pensantes qui préfèrent aujourd'hui partir dans le privé... Et c est bien légitime au regard des salaires pratiqués !Répondre0Il y a bien longtemps qu'on a laissé trop faire les choses, exactement depuis 1981. Aujourd'hui, comment rattraper les choses ? Comment rénover notre Ecole républicaine pour redorer son blason ? Cela commence par rendre le métier plus attirant en mettant en place les conditions nécessaires, dont effectivement un nouveau statut du professeur.Répondre1Il faut également obliger par une loi claire et contraignante l'institution à réagir en cas de sollicitation d'un enseignant et bien sûr le soutenir. Un renforcement du statut des professeurs doit engager autant qu'il protège. Certains collègues ne sont pas suffisamment conscients de l'importance de notre mission, et prennent malheureusement des postures qui n'incitent pas le respect. La société doit redonner la place centrale à l'école, les enseignants doivent en être dignes et responsables à chaque instant.Répondre1Notre métier ne peut nous conduire à la mort!Répondre1Multiplier les justices d'exceptions c'est ne plus vouloir de justice commune.Répondre0L'école doit être un lieu de sérénité et de sécurité. Il est inacceptable qu'un enseignant y subisse la plus petite violence.Répondre0Ce problème doit concerner également les élus et représentants de l'état et comprendre des peines plancher refusées par LREM avec l'aide de LFIRépondre0Puisque les familles sont défaillantes, c’est la seule solution simple pour tenter de re sanctuariser l’école dont l’importance est essentielleRépondre0Il faut restaurer le respecte et obéissance aux les enseignantes mais en même temps donner le possibilité aux élèves de se plaindre quand c'est nécessaire. Il existent des brebis-galleuses par tout.Répondre0l'arsenal législatif est suffisamment fourni - le problème est celui de sa non utilisation et de sa non application - la justice est à l'arrêt et si par hasard la justice est rendue les peines prononcées sont effacées par le JAP ou le JDLRépondre0
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